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Photo : iStock
Cette offre n’est qu’un des aspects du programme UR Guarantee, lancé en septembre dernier. Car les étudiants, de leur côté, doivent aussi fournir leur part. Tout au long de leur scolarité, ceux qui choisissent d’y participer – ils sont 350 cette année – s’engagent à assister à des ateliers, à rencontrer un conseiller pédagogique, à suivre des stages et à prendre part à des activités étudiantes. « Les étudiants impliqués sur le campus acquièrent des compétences qui les rendent attrayants pour les employeurs », dit Barbara Pollock, vice-présidente aux relations extérieures de l’université.
L’Université Sainte-Anne, établissement francophone de Nouvelle-Écosse, fait une promesse semblable à ses bacheliers en éducation et en administration des affaires.
Au Québec, rien de tel n’est envisagé. « La mesure est intéressante, mais pourrait avoir des conséquences fâcheuses, dit Mathieu Le Blanc, de la Fédération étudiante universitaire du Québec. Les universités pourraient être tentées de s’arrimer davantage au marché du travail ou de n’offrir que les programmes qui ont les meilleurs taux de placement. »
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